[banner items= »[{"image":{"attachment_id":"814","url":"\/\/chirurgieplastiqueaulnay.fr\/wp-content\/uploads\/2018\/06\/chirurgie-reconstruction.jpg"},"dark_bg":"no","heading":"{{Chirurgie}}\/\/de reconstruction","heading_decoration":"no","heading_big":"no","sub_heading":"","text":"","text-align":"tal","links":[],"form":""}] » height= »500″ _array_keys= »{"items":"items"} » _made_with_builder= »true »][/banner]

Interventions chirurgicales

Introduction

La chirurgie reconstructrice fait partie intégrante de la chirurgie plastique. La reconstruction a pour idéal de restaurer l’esthétique et la fonction d’un organe qui aurait été précédemment altéré ou amputé, comme par exemple dans les suites d’un accident ou de la prise en charge d’un cancer.

Reconstruction du sein

La reconstruction mammaire concerne aussi bien les patientes ayant subi une mastectomie que celles présentant des séquelles liées à un traitement conservateur (tumorectomie, quadrantectomie…). Le timing de la reconstruction dépend du type de cancer et de la réalisation de traitement complémentaire à la chirurgie, telles que la radiothérapie ou la chimiothérapie.

Le plus souvent, le traitement hormonal devra être suspendu 1 mois avant et 1 mois après l’intervention. Le service de chirurgie plastique de l’hôpital R. Ballanger propose l’ensemble des techniques actuelles en reconstruction mammaire.

Ces techniques peuvent faire appel à une prothèse mammaire, ou aux propres tissus de la patiente (reconstruction autologue par lambeau), voire aux deux associés. Dans certains cas, une reconstruction par microchirurgie peut être proposée (Lambeau de DIEP).

Reconstruction du visage et du cou

L’hôpital Robert Ballanger dispose d 'un plateau technique et d’un service de chirurgie ORL permettant la prise en charge de tumeurs de la cavité orale et du massif facial. Le traitement de ces cancers aboutit souvent à une altération des fonctions de la sphère oro-faciale, telles que l’élocution, la déglutition ou la respiration, mais également de l’esthétique de la face.
On trouve donc ici la justification à la réalisation d’un geste de reconstruction associée à la prise en charge du cancer.
La prise en charge de ses tumeurs se fait de façon pluridisciplinaire, entre une équipe de chirurgiens ORL réalisant le retrait du cancer, associée à une équipe de chirurgie plastique et reconstructrice s’occupant de l’étape tout aussi importante qu’est la reconstruction. En fonction du type de cancer, la reconstruction peut necessiter l’apport de peau, de muscle, voir d’os pour restaurer au mieux l’anatomie du patient.

Reconstruction cutanée

Merci de visiter notre section chirurgie de la peau.

Reconstruction des membres

Tout comme le visage ou n’importe quelle autre partie du corps, les membres (supérieurs et inférieurs) peuvent faire l’objet de cancers de la peau ou des parties molles ( muscles, tissu sous-cutanés, appelés sarcome) mais également de traumatismes (plaies, délabrements cutanés, fractures).

Alors que les chirurgiens orthopédiques s’occupent de la réparation des fractures, il arrive que la peau en regard ne soit pas de qualité suffisante pour pouvoir assurer la cicatrisation de l’os en dessous ou la protections des éléments importants que l’on peut retrouver sur un membre (vaisseaux, nerfs, articulations….).
C’est ici que la chirurgie plastique trouve un rôle importante dans la réparation des membres. La connaissance de l’anatomie de la peau et des techniques de réparation cutanée permet de proposer une solution adaptée à chaque patient. Ces interventions ont souvent lieu en partenariat avec l’équipe de chirurgie orthopédique.

Paralysie faciale

Le visage est, par sa mimique, le vecteur de l’expression des émotions. Ces mouvements sont liés à l’action de mucles modifiant la position de la peau, appelés muscles peauciers. Ces muscles sont innervés par le nerf facial.
Ce nerf innerve également d’autre muscles jouant un rôle essentiel de protection de l’œil. En cas de paralysie du nerf facial, il n’est donc pas rare de voir des symptomes occulaires (irritation, picotement, infection...) associés à une perte de l’expressivité de la moitié du visage, du coté du nerf atteint.
De causes multiples et d’évolution aléatoire, le chirurgien plasticien propose à son patient différentes techniques de correction des séquelles de l’attente du nerf facial en fonction de l’importance des symptômes et de la gêne du patient.